La navigation fut musclée , en vent arrière avec 40 noeuds établis
Nous avons eu la chance d apercevoir une tortue puis des dauphins qui sont venus jouer avec nous.
La vidéo n’est pas terrible car avec le vent et la mer qu’il y avait je n’ai pas pu aller debout à l avant. Je prenais déjà des risques en allant sur le côté du pont. Michel ne tenait pas à faire des manœuvres de femme à la mer !
Cliquez sur le lien: https://youtu.be/Gwn6oyaS23w
Pour couronner le tout, on était surpris de voir 2 bateaux en navigation par ce vent. Et oui il y a d’autres fous sur l’eau !
Comme d’habitude, un petit tour rapide au port pour constater, une fois de plus, qu il n’y a pas de place !
On a trouvé une belle baie abritée vers le milieu de l’île.
On a bien amarré le bateau avec des amarres à terre de façon à pouvoir tous aller à terre. J’avais beaucoup aimé ce village l’année dernière et je voulais que Michel puisse venir.
JP est parti à pied mais il ne nous a jamais rejoins au village. Michel, Anne et moi sommes montés en bus jusqu’à la Chora ( village principal).
Le village est très sympa. Le dernier bus pour nous redescendre à la plage partait à 20h. Redescendre à pieds aurait pris 1 heure par des petits sentiers, mais de nuit, non merci !
Michèle et moi avions trop envie de rester dîner dans ce village très pittoresque, on a donc décidé de pendre un taxi après dîner pour redescendre. Anne a du redescendre car JP qui devait nous rejoindre au village ne l’a pas trouvé.
Le dîner fût bon et fort sympathique. On a rappelé le taxi qui nous avait annoncé un tarif de 12 € seulement ce qu’on avait pas anticipé c’est que c était le seul taxi de l’île et qu’il y avait 1 h d’attente avant qu’il puisse venir nous chercher ! En demandant dans un restaurant, le gentil serveur nous on trouvé un autre véhicule VIP pour 20 € avec seulement 20 minutes d attente.
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| La place où nous avons diner |
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https://www.polarsteps.com/IsabelledesMoutis/5058632-navigation-vers-la-grece
En cliquant sur le lien, vous pouvez zoomer.
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Merci au pêcheur (qui ?) pour ses conseils. En fait depuis que nous sommes dans les Cyclades, on a tellement de vent que l’on ne met plus la ligne; ce serait trop compliqué d’arrêter le bateau si on pêchait un gros thon. Et on a perdu un rapala car la ligne s’était emmêlée sous le bateau suite à de nombreux empannages.
super reportage! avec polarsteps j'ai bien suivi le prériple !! BRAVO !!!Michele
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