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23 juin 2021

Pythagorio, iles de Samos

 Nous sommes venus à Pythagorio, petit village tranquille, le berceau de Pythagore pour être proche de l’aéroport car il y a un nouveau changement d’équipage. 

Christine , la copine de Patrick revient avec nous quelques jours et Brigitte doit rentrer.

Je suis allée avec Brigitte à la recherche d’un test PCR car bien que vaccinée,  elle préfère assurer à cause d’une correspondance en Allemagne. Il y a un docteur à  Pythagorio mais il  ne fait pas de test. Il a fallu aller à la ville de Samos à  15 km. Les bus étant très rares, nous avons fait du stop. Nous avons eu de la chance à l’aller mais beaucoup moins au retour, on a poiroté 45 minutes. La ville de Samos ne présente aucun intérêt et ça nous a fait tout drôle de retrouver le bruit et la circulation d’une grande ville.

Le port de Pythagorio est mignon avec ses restaurants le long du port. Nous sommes restés au mouillage en face d’une plage avec transats.

Les températures sont enfin chaudes. On a remisé les polaires dans les placards ! Chique ! Et la mer se réchauffe !




Nous avons appareillé à 8h après avoir déposé Brigitte à terre qui avait son avion Samos - Athènes à 13h
Faute de vent, nous avons  parcouru 35 miles au moteur pour arriver à Agios Kirikos sur l’île d’Ikaria.
Il y a un petit port gratuit où nous avons passé la nuit. Nous avions des voisins bruyants.

La légende raconte que c’est ici qu’Icar c’est abîmé en mer après s’être brûlé les ailes






Le lendemain départ 7h pour 50 miles de navigation vers Mikonos. Super, il y avait du vent !
 Pendant 15 miles, nous avons longé l’île avec des vents katabatiques allant jusqu’à 32  noeuds. C’était sportif ! Albert, le pilote automatique faisait ce qu’il pouvait mais à un moment,  le  bateau a tellement penché que je me suis demandé s’il allait se coucher... Le pont  bâbord commençait à  être dans l’eau.  J’ai littéralement escaladé pour monter sur le pont tribord et mon experrience de dériveur reprenant le dessus, j’ai essayé de faire contre poids ! Ha ha, ça n’a pas fait grand chose.
Pendant ce temps là,  JM luttait avec les matelas qui lui tombaient dessus pour essayer de reprendre la barre ! Un peu d adrénaline, ça change de la navigation au moteur !
Une fois l’ile dépassée, on a eu un vent régulier  de 20 à 25 noeuds au pré, très sympa !

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